Week-end en deux tons
J'ai encore trié quelques photos en ce dernier jour de juin.
Elles sont accompagnées par quelques citations qui, je l'espère, vous plairont.
« Quand vous devenez pessimiste, regardez une rose. »
« Quand vous devenez pessimiste, regardez une rose. »
« Un matin, l'un de nous manquant de noir, se servit de bleu : l'impressionnisme était né. »
J'adore vos photos .Je vous également sur FB .Merci à vous et très bon week-end !!!
RépondreSupprimerMerci, Mammypatch! Bienvenue dans le blog, alors. :) À bientôt.
SupprimerTes scènes sont toujours aussi magnifiques et pleines de délicatesse.
RépondreSupprimerGeneviève
Merci, Geneviève. Je te souhaite un beau week-end (malgré la pluie ;)). À bientôt.
SupprimerTant de beauté et de douce nostalgie se dégagent de ces images, qu'elles viennent de m'évoquer la fresque de Nina Companeez,
RépondreSupprimer'' Les dames de la côte ''. Je n'ai qu'une envie, c'est de revoir ces dames après tant d'années !
Merci de m'avoir provoqué cette évocation, ma chère Léa, par votre grâce et votre sensibilité...
Merci, Josy, quelle belle référence ! :)
SupprimerJ'ai adoré ce feuilleton et l'ai également vu plusieurs fois… j'ai souvent quelques partitions de la bande originale en tête, quand je miniaturise… (du coup, les images viennent avec… :))
Je croise fréquemment l'une de ses héroïnes, dans la vie réelle, dans les rues de Montmartre, aux Abbesses. :)
Là, aussi, impossible de ne pas l'associer systématiquement au personnage qu'elle y jouait (même si depuis, elle en a joués bien d'autres, au théâtre, à la télévision, au cinéma).
Évelyne Buyle est aussi belle et élégante que dans son rôle, fort, touchant, certainement pas le plus facile à interpréter, elle m'avait beaucoup marquée par sa grâce, jusque dans le drame.
Cette fresque historique décrit bien la fin d'une époque et le début d'une autre, les bouleversements occasionnés par la guerre de 14-18, les femmes qui furent contraintes de prendre les rênes de l'économie, de changer de mode de vie, de garde-robe… et comme toujours, de cacher leur chagrin quand les hommes, maris, fiancés, fils, tombaient au champ d'honneur, les uns après les autres…
Tout étant dit, dans les précédents commentaires, les mots me manquent. Mon émerveillement est toujours aussi grand !
RépondreSupprimerBises. Joce
Merci, Joce. Je te souhaite une belle journée (j'ai dû remettre un pull… il fait plutôt frisquet… :D). À bientôt.
RépondreSupprimerOn ne se lasse jamais de toutes ces tendres miniatures!!! Toujours aussi craquantes...
RépondreSupprimerMerci beaucoup, Noëlle ! Je te souhaite une très belle journée. À bientôt.
SupprimerSalut Léa,
RépondreSupprimerTes photos sont belles ! et avec la profondeur du champs, j'ai l'impression que les roses (toujours magnifiques) sont à taille réelle.
Sinon.. j'aime bien les robes et les poupées ; les bottines et le landau (ils sont toujours beaux tes landaus !!)
Bises
Gis
Merci, Gis. :)
SupprimerL'avantage, c'est que l'on voit bien les détails, mais l'inconvénient c'est que les objets photographiés paraissent 10 fois plus grands sur écran qu'ils ne sont en réalité. ;)
Bises